Les mandalas Celtes

Les mandalas Celtes

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ok mais on fait quoi avec

Ramila a écrit:

ok mais on fait quoi avec

Ha, mais on ne fait rien, Ramila, c' est juste que c' est trés joli !
Merci amcph !
En réalité, là, on fait du celte avec de l' indou !
Je connais bien les mandalas indous qui sont assez renommés pour l' extraordinaire diversité de leurs motifs colorés,mais toujours représenté sous la forme d' un cercle ! Il y a une raison à cela mais je ne m' en souviens plus .

Un mandala est, au départ, un mot sanscrit qui signifie le centre, le cercle magique, le mystère. Aujourd'hui, le mandala est le symbole de la vie éternelle à travers le cercle qu'il utilise. Le mandala est la structure de base de la création elle-même.
Le mandala est perçu comme l'extériorisation de l'Homme. Il est l'outil, l'oeuvre artistique ou spirituelle qu'une personne créé afin de projeter à l'extérieur ce qu'il y a à l'intérieur de soi. C'est pourquoi un mandala reste une création personnelle, emplie des émotions, de la compréhension et du ressenti de la personne. Et pourtant, le cercle est un des plus puissants symboles de l'Unité, cette unité qui nous rappelle que nous sommes tous unis, et que chacun est en interaction avec l'autre. Un mandala est alors aussi l'expression de notre fraternité, de notre appartenance à la même Source, hors du temps et de l'espace.
Les mandalas sont utilisés pour la concentration et la méditation. En effet, par son jeu de couleurs et de formes, le mandala nous aide à déchiffrer l'état d'âme fondamental que nous rencontrons, ou nous amener à un état d'esprit désiré. Le mandala est un pacificateur et un révélateur.
Le mandala est universel. Nous le retrouvons dans diverses cultures, à travers les âges.

ok c'est un dessin qui représente notre état d'ame du moment ou qui désigne un groupe ...

le mandala est un support méditatif , s'installer au calme en fermant les yeux afin de trouver son temple de silence . Ensuite ré-ouvrir les yeux et s'imprégner du mouvement qui se crée par ses mandalas , et laisser couler l'énergie divine .

Le mandala, dont le mot issu du sanskrit signifie cercle, tire son origine des traditions religieuses hindouistes et bouddhistes. Mais dans son évocation profonde, le mandala, reflet de la plénitude du cosmos, demeure un des modèles fondamentaux d’organisation de la vie et apparaît sous les aspects les plus divers depuis l’origine des temps. On en trouve les plus belles formes dans la nature. Depuis le big bang, il est l’expression de la force créatrice de l’univers, de l’infiniment grand à l’infiniment petit : de la spirale des galaxies aux orbites planétaires de notre système solaire; des sphères célestes que sont le soleil et la lune jusqu’aux mouvements circulaires et spiralés retrouvés dans les cristaux, les flocons de neige, les fleurs ou les atomes.

Très tôt dans l’histoire, l’homme reconnaît l’importance de ce cercle : il est l’expression de l’essence de la vie. L’homme éprouve le besoin d’inclure le cercle dans ses créations. Ce symbole unificateur attire les humains de tout temps et de toutes cultures et rend compte de leur vision intégrée et sacrée d’eux-mêmes faisant partie du grand Tout, au même titre que toutes les composantes de l’univers, sans hiérarchie.

On sait que les motifs du cercle et de la spirale sont apparus simultanément dans toutes les cultures préhistoriques. Les humains les associent à un mouvement éternel, à un ordre cosmique, à un œuf d’où surgit la vie : ils y reconnaissent les cycles cosmiques du jour et de la nuit, ou des saisons, qui inspirent respect et crainte. Bref, le cercle prend forme dans les représentations en même temps que surgit le sentiment religieux et cosmique.

Plus tard, le cercle devient partie intégrante de grandes manifestations spirituelles des cultures autochtones ou celtes, par exemple. Chez les autochtones, on bâtit des roues de médecine, formées de pierres disposées en cercle sur le sol. Chez les celtes, ces cercles de pierre deviennent des lieux de cultes sacrés ou, à titre de miroir de la voûte céleste, forment des calendriers, des observatoires astronomiques ou des cartes du ciel qui servent à calculer les événements agricoles et sacrés qui marquent les saisons. Ces premières formes architecturales circulaires permettent ainsi à l’esprit d’accéder à une conscience plus élevée.