Frappent et toc, martèlent, les nains forgent le fer.
En hordes serrées, Les sangliers le sol aussi,
ces bénis d'Arduinia, déesse de mes contrées
Me voici en ces lieux, coureur de bois et de forêts,
Ca grafouille en dessous dans l'antre de la vouivre
Les racines déjà présagent le printemps
comme si elles dessinaient déjà robe pour Brigid
Me voici en ces lieux et je vous saluant
L'homme vert s'étire, l'oreiller déjà loin en dégelée
Mais ne suis que mat, vagabond, chercheur d'Elfland
Me voici en ces lieux, un peu bateleur, rêveur, lorialet....
Que nos Dieux se joignent pour vous bénir tous.