Mes poèmes de louve

Je t’es vu te lever
Tes reflets qui jouent à cache cache
Sur les nuages
Comme un feu en hiver.
Tu te lèves et te coucher éternellement.
Rien ne peut arrêtera ta courses
Tu es le Père Soleil.
Père et Amant de Mère Lune.
Tu as donner naissance
Aux astres et à l’humanité
Nul égale ta chaleur
Tu joue souvent à chat avec tes fils les nuages
Qu’ils soient blanc comme neige ou gris d’orage.
Petit ou Grand.
Tu règne sur nous
Réchauffe tes enfants
Et je te regarde et vie ton cycle

Toi qui joues de tes rayons.
Cette douce lumière.
Cet l’or blanc qui danse sur les pierres.
Tu joues sur les pierres des cimetières.
Les soirs ou tu es pleine.
Au zénith de la lumière céleste.
Toi ma mère et ma sœur.
Qui bous guide sur cette terre
Qui nous fait danser sous ta voute céleste.
Qui nous fait vibrer dans la lumière lunaire.
Le cœur de la lumière stellaire.

Toi qui fais passer l’ombre à la lumière.
Toi qui dans ce spectacle de couleurs.
Tu n’es pour rien dans mes malheurs.
J’aime te regardée te lever.
Et ta beauté est aussi un fléau.
Car pour moi si tu es levée, c’est que la nuit c’est achevée.
Ce qui veut dire que, le temps est passé.
Et qu’il m’éloigne de l’être aimé.
Aimer est à la fois, la meilleure et la pire des choses.
Car la douceur de l’union des deux être aimés.
Finit par être entachée de la séparation.
Quelle durée quelques heures à quelques mois.
Nul ne peut apaisé ces malheurs.
Le temps nous usent, et nous fait par ruse.
Fait acceptée l’absence de l’être aimé.

Qui sur cette terre jettera la pierre.
La pierre elle me ne peut touche.
Comment le pourrai -t- elle?
Je suis l’air ou l’esprit.

L’air qui prendrai la vie!
Si il n’arrive pas.
L’esprit toi qui passe.
De l’animal à l’homme.

Sans pour au temps -t-y attarder?
Tu es immatériel.
Seul être mourant connais ta présence.

Car son air part et son esprit s’envole avec toi.
Toi au constante de la nuit des temps.
Je te nomme éternelle.

Lumière et ombre
Amour et haine
Tu es l’être désincarné

Le spectre de la mort
Seul a parcourir cette lande de noirceur céleste
Et aussi l’amour céleste qui éclaire cette lande de terre

Toi qui fait seul la route entre les mondes
Toi qui es solitaire sans avoir choisis

Tu l’exilé de l’amour
Mais tu le connais tout comme la haine
Tu es la lumière des innocents
Et l’ombre les coupables
Tu es le passeur d’âmes

Toi que seul les sens ne sont pas endormir mais exacerbé
Tu es l’aube de la mort et le coucher de soleil de la naissance
Tu veille sur les âmes des innocences pour leur prochaine incarnation
Toi qui est tout les contraires et tu es l’équilibre de cet univers

L’amour qu’est-ce que c’est?
La tendresse; Les caresses , De la douceur.
La confiance, La compassion de l’autre et de la lumière.
L’odeur de la peau de l’être aimé.

Mais il peut être aussi.
Douloureux, intolérant, la trahissions et la noirceur.

Tu es parfois la lumière et l’ombre.
Seul ou plusieurs selon ta façon d’être.
Tranquille ou tortueux.
Nul est a l’abri de toi .

Tu es mon erreur.
Tu a envahir ma vie.
Tu as essaie de me détruire.

Car tu ne pouvais faire de moi une marionnette.
Tu te crois marionnettiste mais tu es toi-même une stupide marionnette.
La marionnette d’un autre .

Nul femme ne te prendra de nouveau.
Ton être est noir comme la mort.
Et encore la mort peut être lumière.

Tu es une prison que seule la mort pourra délivré le monde.
Tu es l’abject , l’inutilité vivante qui marche sur terre.

la personne donc je parle dans ce poeme est mon premier ex

Ton odeur, ta peau.
Tes caresses et ta douceur.
Ta chaleur, ta patience.
Que je mets souvent à l’épreuve.
Car je suis encore sauvage.
Car avant toi , un autre m’a rendu sauvage.
Je suis encore trop secrète a ton gout.
Mais laisse moi un peu de temps.
S’il te plaît , laisse moi encore un peu de ta patience.
Seul le temps peut m’aide à réparé les dégâts .
J’aime être dans tes bras en sécurité .
Contre ton corps où ta chaleur m’a réchauffée.
Tu cherches à me connaître , mais si je fuis encore.
Et je le sais, je doit encore fait des progrès.
Je suis heureuse de t’avoir rencontré.
Et de te connaître.

je parlais de mon 2ex

Toi qui fait coulé mes larmes.
Celles que je veux retenir.
Mais je ne le peux.
Quelles soient de joie ou de tristesse.
Où les deux à la fois.
Pour moi elles sont la preuve de ma faiblesse.
Et je ne veut de cette faiblesse.
Elle est trop imprévisible.
Pour que je l’a toléré.
Je lutte pour ne pas tombé.
Comme pour chacun d’entre nous.
Mais je ne sais par moment.
Si c’est par bonheur ou malheur
Je suis toujours là pour marché sur cette terre.
Même si je n’est pas souvent envie d’être encore de ce monde.
Je me combat moi-même.
Mes pensées, mes actes.
Je doit les contrôlées.
Je ne sais ni ou ni quand.
Mais je l’attend.

Le désir il nous prend, il nous consume
Il est parfois aussi doux que le vent sur la peau lors d’une journée chaude
Au sucré que le miel
Mais aussi dur que la pierre, aussi acide que du vinaigre
Qu’il sois doux et tendre
Ou violent et brutal
Il est la douceur d’une mère pour son nouveau né
Et aussi la dureté du père encoléré
Il est présent dés notre naissance
Qu’il soit sexuel ou non il est le même
Un nouveau né désir le sein maternel pour apaisé sa faim
L’homme lui désir le plaisir et extase qui est plus d’ordre sexuel
Le désir peut être sexuel et mortel
L’amour et la haine
La vengeance est elle aussi un désir
Mais prenais garde a vos désirs

Toi qui est tu
Tu me regarde , tu copier mes gestes
Mes gestes et les tiens sont en accro parfait
Parfaitement tu m’es étrangère et pourtant
Pourtant familière.

Familière dans tes expressions
Expressions de surprise, dans nos croisant devant le miroir
Le miroir que reflète -t-il. Ton cœur ou ton âme

L’âme est vagabonde et parfois solitaire
Solitaire le cœur peut l’être aussi
Si tu peut voir le reflet de ton âme ou de ton cœur

Tu m’a pas a cœur de le dévoilé
Dévoilé l’être que tu est te fait peur
La peur une chose qui pour toi ou moi n’est pas étrangère

en gallois

llygaid fy llefain dagrau o waed
ac mae fy nghalon yn briwiau agored
Yr wyf yn disgwyl y farwolaeth yn unig byrhau fy agony
Dim ond y gallai hi ddim fi rhag y bywyd hwn o dristwch
fy nghalon guro allan hanner fy mron gwaedu
wawr yn goch ac yn fy nghalon i gyd yn tywyllwch

en français
mes yeux pleurent des larmes de sang
et mon coeur est une plaie béante
j'attend que la mort viens écourté mon agonie
seule elle pourrai me libéré de cette vie de tristesse
mon coeur battre a moitié hors de ma poitrine sanglante
l'aube est rouge et mon coeur est toute noirceur

danse avec la lune est sur les éclairs du tonerre
elle ecoute sa mère la terre
et son père le ciel
et joue avec son frere le vent
et apprend de sa soeur la mer
elle est soeur de sang des loups
cours avec eux sous la lune et le soleil
car elle ne fait qu'une avec sa soeur louve

Ton odeur , celle donc je ne peut me passé
Ta chaleur, qui me réchauffe aussi bien intérieurement que extérieurement
Ta douceur, grâce à la quelle j’apprend ce qu’est la tendresse
Et ta patience car il en faut pour ne pas m’effraye
Ta peau contre la mienne, qui pour moi est une joie
Tes levres sur les miennes , qui me fait comprendre plus que les mots
Que tu tiens a moi
J’aime etre avec toi
Mais si je me suis pas facile
Je me cache encore
Je t’aime

je parlais de mon ex 2